« Des escarpins parmi les bottes » est l’histoire de Céline Baucourt, cadre supérieure dans une entreprise industrielle. Elle nous raconte cinq journées de sa vie professionnelle. Elle nous donne sa vision de ce monde régi par des codes et des règles dont l’écriture est plutôt masculine, et sur lequel se tissent les ambitions et le pouvoir.

En miroir, ses collègues masculins nous exposent leur propre vision de ces journées. Ils maîtrisent mal la nouvelle grammaire du management féminin. Entre surprise et bienveillance, ils accueillent ces esprits étranges qui ne semblent pas s’appliquer à traiter les mêmes enjeux.

Deux sensibilités aiguisées par des aprioris ancrés dans l’histoire et l’éducation depuis des millénaires. Deux perceptions qui sont pourtant une chance lorsqu’elles s’équilibrent dans l’harmonie. 

Quelques commentaires de lectrices / lecteurs :

• Pascale : « Je viens de tourner la dernière page des Escarpins parmi les bottes. Céline m¹a accompagnée tout ce week-end et j¹en ai été ravie. »
• Jackie : « J’avais du mal à laisser le livre, j’avais envie de connaître la suite, on est captivé, et c’est bien ce que l’on attend d’un livre. Je m’y suis complètement retrouvée, cela décrit très parfaitement les postures en direction d’entreprise, l’ambiance des entretiens, des réunions, des séminaires. »
• Frédéric : « Ce roman à cela de peu ordinaire qu’il nous plonge au cœur de l’intimité cérébrale de cette femme, ses zones d’ombres, son psyché, ses valeurs, ses jeux de rôles, drapée dans la carapace qu’elle met en œuvre pour se protéger et naviguer dans l’entreprise en tant que femme (Des escarpins) dans une société au Comité de Direction très masculin (parmi les bottes). »
• Hélène : « Si je devais résumer en une phrase ma réaction, ce serait « je me suis régalée ». En deux, j’ajouterai pour preuve «  je l’ai lu tout d’une traite », en réalité deux car je l’ai commencé un soir, et qu’il a bien fallu éteindre la chambre conjugale… »
• Jeanne : « Extra ! Une vision humoristique et très pertinente des différences de perception entre hommes et femmes. À lire absolument. Plaisir garanti. »
• Marie-Hélène : « Le récit permet à des lecteurs curieux du monde de l’entreprise de s’en faire une idée, ou à des salariés d’entrer dans les niveaux de direction qu’ils ne connaitraient pas. Pour ceux qui connaissent comme moi, ça passe bien, ça sonne juste malgré quelques raccourcis et simplifications sans doute nécessaires. »

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